Article écrit par Pierre
14 Oct 2023 @ 9:00am
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Allez, on ne va pas se voiler la face, en France, la pression fiscale, c’est du sérieux ! Mais, tapez-vous sur le torse, on est loin d’être le petit chouchou de l’Europe en terme d’impôts. Il y a un pays scandinave qui nous grille la politesse !

Alors oui, si vous pensez qu’on crache trop d’oseille au fisc en France, je ne peux pas dire que vous êtes dans l’erreur. Toutefois, si on jette un œil par la fenêtre, on se rend compte qu’il existe des contrées où le portefeuille saigne un peu plus que chez nous. Bon, ne nous trompons pas, la pilule a du mal à passer, mais on ne peut nier l’importance des impôts que nous versons. Cette fameuse dîme est ce qui permet à l’État de financer les nécessités publiques, et chaque nation fixe son taux en fonction de ses propres nécessités. Tiens, pour le fun, voilà le top 10 des pays qui raquent le plus d’impôts en Europe.

10. Alors, Autriche ou pas?

Qu’on donne un beau salut, à la manière de Mozart, aux terrains vallonnés de cette gemme européenne qu’est l’Autriche, où la mélodie de la langue allemande est aussi intemporelle que le vent dans les forêts de Vienne. La danse délicate des chiffres et des pourcentages révèle un système de taxation progressif à vous faire tourner la tête, et son taux peut surcharger comme une symphonie viennoise, atteignant des notes vertigineuses jusqu’à 55% sur les revenus individuels. Sacré, non?Bien que ce scénario puisse faire grincer des dents, la situation fiscale n’est pas si austère pour les corporations. Elles ont réussi à esquiver les flèches du trésor public plus adroitement, ne courbant l’échine qu’à un taux plus modeste de 25%. Malheureusement, la petite charmille trouve toujours son chemin et finit par réclamer sa part. Au final, la pression fiscale globale s’impose, grignotant une part conséquente de 42,1% du PIB. Voilà qui met bien en lumière le côté obstiné de l’Autriche – défendre coûte que coûte une répartition des charges équitable pour parvenir à un développement socio-économique en beauté. On comprend mieux pourquoi les Autrichiens ont l’air si radieux malgré l’hiver austère, n’est-ce pas?

9. La Dolce Vita fiscalité: Italie

Accrochez-vous, les amis! Vu d’ici, le pays de la pizza et de l’opéra semble avoir transformé la fiscalité en une véritable œuvre d’art de la complexité. Parler d’impôts en Italie, c’est comme prendre un détour tortueux à travers une jungle législative qui changerait sans cesse de visage.

Juste pour donner une idée, laissez-moi vous peindre un petit tableau : la taxe d’entreprise en Italie, c’est comme un opéra en trois actes. Elle varie, voyez-vous, en fonction de votre domaine d’activité, et ensuite, la note monte selon les tranches de revenus. Pas très la vida bella pour les patrons d’entreprises, non?

Mais bon, n’allez pas croire que les particuliers échappent à cette complexité. Et là aussi, ça se corse! Prenez un peu ceci en considération : le taux d’imposition atteint la bagatelle de 42,8 % du PIB! Oui, vous avez bien lu.

Et si par une chance incroyable, vous réussissez à amasser une petite fortune, disons … plus de 10 millions d’euros (hé ben, chapeau!), l’Etat italien se frotte les mains. Vous allez sentir passer une autre jolie taxe, spécialement conçue pour les cœurs bien remplis … de portefeuilles bien garnis! Ah, ce n’est pas tout ! Là, j’entends les expats soupirer de soulagement, mais attention : cette taxe s’applique uniquement… aux résidents.

8. L’envoûtante Suède

Et maintenant, cap sur le Nord, en direction de la féerique Suède. Située au cœur de la Scandinavie, cette terre de glace et de feu est réputée pour sa particularité fiscalité, l’une des plus hautes en Europe. En effet, ses habitants peuvent voir le fisc leur réclamer jusqu’à 31,86 % de leur revenu dûment gagné ! Un pourcentage impressionnant, n’est-ce pas ? Et ce n’est pas tout, car si vous vous arrêtez au marché du coin pour acheter une douceur suédoise, la TVA appliquée sera de 25 %. Toujours partant ? Eh bien, sachez que les entreprises ne sont pas en reste : elles n’échappent pas à un impôt de 20,6 %. En ce qui concerne la pression fiscale, c’est un lourd fardeau qui pèse sur les épaules des suédois à hauteur de 44,12 %. Ah, la douce vie suédoise…

7. La séduisante Serbie

Que diriez-vous de nous aventurer au delà des frontières, de quitter la Slovénie pour nous immerger dans l’atmosphère de la Serbie? Eh bien, c’est une idée qui ne nous éloignerait pas trop de notre confort fiscal. Car voyez-vous, ce joyau des Balkans a un taux de pression fiscale qui atteint astucieusement 38,4%. Ça vous rappelle un peu nos bons vieux voisins slovènes, vous ne trouvez pas ?

Si on aborde le sujet de l’impôt indirect – vous savez, ce truc que l’on appelle TVA – le taux en vigueur en Serbie est de 20%. Rien de bien révolutionnaire, convenons-en.

Mais là où nos yeux brillent d’intérêt dans cette arène fiscale serbe, c’est le coup d’oeil vers le taux d’imposition des sociétés. Un chiffre qui se pavane sans complexe à 15%. Un véritable attrait face à ce que l’on peut observer dans certains pays de l’Europe de l’Ouest, n’est-ce pas ?

Il est donc clair que sautiller en Serbie, c’est autant raviver vos papilles visuelles que garnir vos connaissances en politique fiscale locale. Ai-je vraiment besoin de souligner que c’est le genre de leçon qui marque les esprits à l’encre indélébile ?

6. Sur le podium, la Finlande

Jetez un coup d’œil à la Finlande, sacrée joyau de la couronne, ostensiblement le pays le plus heureux du monde. Ici, la fièvre du devoir fiscal atteint une température de 44,2 %. Ah oui, quand on parle d’impôts, les Finlandais n’y vont pas de main morte!
En fonction de ce que l’on gagne, ce fameux taux d’imposition peut flirter avec la barre des 50 %. Pas d’échappatoire, il est immédiatement prélevé à la source. C’est donc un spectacle en direct auquel on assiste, pas le temps de cligner des yeux! Du côté des sociétés, l’histoire est légèrement différente. Elles ont droit à un taux d’imposition plus relax, se prélassant à 20 %. Le contraste, n’est-ce pas ?

5. Un détour par la Slovénie

Il faut noter un point essentiel que vous devez connaître si vous prévoyez un voyage en Slovénie : la TVA qui pointe son nez à 22%. Disons, pour faire simple, que ce n’est pas la plus légère du monde. Mais ce n’est pas tout, mes chers amis. Si vous décidez de résider en Slovénie – un pays incroyablement beau, soit dit en passant – vous devrez également vous acquitter d’une imposition assez distinctive. Pour les revenus inférieurs à 5 855 €, l’impôt est de 17%. Ce qui n’est pas la fin du monde, non ? Mais voyons maintenant si vos poches sont un peu plus lourdes. Eh bien, si vos revenus dépassent la barre significative de 35 135 €, vous êtes dans une autre ligue – une ligue à 50% d’imposition. Oui, vous avez bien entendu, cinq-zero.

Mais il y a une petite astuce : cela ne s’applique que si vous êtes résident. Si vous êtes expatrié et que vous vous lancez dans une activité commerciale là-bas, la Slovénie a une approche plus nuancée, pour ne pas dire plus douce. En d’autres termes, les expatriés ne sont pas soumis aux mêmes règles fiscales draconiennes que les résidents. C’est plutôt une bonne nouvelle, non ? Ils sont uniquement tenus de payer des impôts pour les affaires qu’ils mènent dans le pays. Un peu de répit, vous ne trouvez pas ?

C’est toujours bon à prendre.

4. Hongrie : Un survol fiscal

Permettez-moi de brosser un tableau du paysage fiscal au cœur de l’Europe, en Hongrie. Le fardeau fiscal est un peu lourd, puisqu’il représente 39,4 % du produit intérieur brut ! On peut dire que ce n’est pas vraiment une goutte d’eau dans l’océan pour l’économie. Et voici une petite surprise qui vous attend : ce pays porte la couronne de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) la plus élevée d’Europe, avec un taux de 27 %.

Avant de cataloguer ce pays comme un gouffre fiscal, accrochez-vous à vos chapeaux ! Il y a un petit détail qui pourrait bien attirer l’attention de votre entreprise : le taux de l’impôt sur les sociétés, un modeste 9 %. Quant aux charges patronales les plus élevées, elles ne s’élèvent qu’à 22 %. N’est-ce pas plutôt alléchant ? C’est comme si la Hongrie déroulait le tapis rouge pour les entreprises à la recherche d’un point d’ancrage stratégique sur le marché européen.

3. Surprise, surprise : la Belgique

Allez-y, frottez-vous les yeux, pincez-vous, si nécessaire. Oui, vous avez bien lu! La Belgique, souvent glorifiée et projetée sous les feux de la rampe comme un havre fiscal tout en chocolats et bières de spécialité est en fait – accrochez-vous bien – parfois plus coriace que l’Hexagone elle-même en matière de taxe. Qui l’aurait cru, hein?

En effet, ne vous laissez pas duper par ce petit pays charmant et tranquille. Derrière sa façade se cache une pression fiscale de 44,13%, assez rude pour vous faire tourner la tête. Quant aux chanceux qui gagnent plus de 36 300 euros, mon doux, ils n’échappent pas à la règle de fer du preux taux d’imposition de 50%. Et ce n’est pas tout! Même la TVA n’est pas en reste, avec un solide 24% à débourser.

Bref, si vous rêviez de remplir vos poches en Belgique, on vous conseille de réfléchir à deux fois. Parfois, les apparences peuvent être trompeuses, et la Belgique ne fait pas exception à la règle.

2. La belle France

Et la palme d’argent revient – roulement de tambour – oui, vous l’avez deviné, à notre douce France. Figurez-vous que notre beau pays caracole fièrement en deuxième position des pays affichant la plus forte imposition. Oui oui, on n’y va pas avec le dos de la cuillère ici ! On se retrouve donc à étaler notre bien-aimée ponction financière en cinq tranches que, je vous le donne en mille, culminent à un joli petit 45 % sur les revenus annuels. Et comme si cela ne suffisait pas, coiffe sur le gâteau, la France rajoute une TVA de 20 % à sa gamme fiscale. Vous faites le calcul ? Bingo, nous nous retrouvons confrontés à une suffocante pression fiscale de presque 45,3 % . Allez, haut les cœurs, c’est pour notre belle économie française !

1. Explorons le royaume de la taxe, le Danemark

Imaginez, un pays où la taxe fait office de couronne, où l’on regarde son billet de paie en tremblant d’anticipation… et non, ce n’est pas une contrée imaginaire tirée d’un film fantastique. On parle du royaume très réel du Danemark! S’accrochant fermement à un taux de taxation estimé à une vertigineuse hauteur de 49,5% du Produit Intérieur Brut, le Danemark se pavane ostensiblement en tant qu’État le plus imposé d’Europe et même – tenez-vous bien – du monde entier! Impressionnant, non? Ici, entre canaux et tulipes, le taux d’imposition individuel danse et virevolte, fluctuant de 41 à 60%. À vous en donner le tournis!Mais ne prenez pas peur tout de suite. Avant que vous n’imaginiez les Danois survivre à peine, en grignotant des sandwichs de herring sous un pont, précisons un point important : malgré ces taxes conséquentes, ou même grâce à elles, le Danemark se révèle être un territoire d’une prospérité économique remarquable. Ah, ça change la donne, non ?

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